News "The world of water"

En moyenne, le déficit pluviométrique a été supérieur à 10 %, avec des précipitations très déficitaires sur le nord-ouest de la France. Associé à des températures élevées et à un fort ensoleillement, ce déficit pluviométrique a contribué à un net assèchement des sols superficiels.

A cause d’un déficit de pluviométrie marqué et de températures élevées, les sols sont secs sur l’ensemble de la moitié Nord du pays (sauf pour la Bretagne), du sud de l’Alsace et de la Lorraine à la région Auvergne-Rhône-Alpes, (excepté sur le relief des Alpes), mais aussi à l’est du Puy-de-Dôme,

A cause d’un déficit de pluviométrie marqué et de températures élevées, les sols sont secs sur l’ensemble de la moitié Nord du pays (sauf pour la Bretagne), du sud de l’Alsace et de la Lorraine à la région Auvergne-Rhône-Alpes, (excepté sur le relief des Alpes), mais aussi à l’est du Puy-de-Dôme,

Début mars, des passages pluvieux fréquents durant les 15 premiers jours du mois ont fait place à des conditions plus anticycloniques et mars s’est terminé par un refroidissement, accompagné de chutes de neige.

La pluviométrie a été géographiquement très contrastée du nord au sud. Les cumuls de pluie ont été excédentaires de 25 à 50 % sur la moitié nord du pays et les Alpes du Nord.

Cette année hydrologique a été marquée par la sécheresse observée dès le printemps dans le centre du pays. Cette sécheresse a perduré et s’est étendue au Nord-Est et au pourtour méditerranéen durant l’été.

En moyenne en janvier, la pluviométrie a été déficitaire de 30 % avec des cumuls très contrastés en France métropolitaine.

Au mois de décembre, des perturbations souvent actives se sont succédées sur une grande moitié nord du pays.

Pour la première fois dans l'histoire du Rapport sur les risques mondiaux du WEF, les préoccupations environnementales - notamment les crises de l'eau, l'incapacité à s'adapter aux changements climatiques et la perte de biodiversité - dominent les principaux risques à long terme.

La directive-cadre sur l’eau de 2000, novatrice lors de sa conception, et complétée par plusieurs directives, plus ciblées, est la clé de voûte d’un arsenal juridique protecteur de la ressource en eau.